Ma passion pour la traduction ne se limite pas à l’action de traduire en elle-même. Analyser les traductions de textes célèbres (ou non) est, entre autres, un moyen passionnant de se forger de solides connaissances en traductologie, et je me suis prêtée au jeu avec plaisir.
Par ailleurs, écrire est également une bonne façon de s’exercer, car traduire, c’est se glisser dans la peau d’un auteur.
Sur cette page, vous trouverez un sommaire regroupant tous mes écrits, qu’ils soient des articles ou des textes. N’hésitez pas à me laisser un commentaire et à les partager sur les réseaux sociaux s’ils vous ont plu ! Bonne lecture !
Traduire une œuvre de fantasy n’est pas une entreprise aisée, surtout lorsqu’elle est composée de nombreux volumes. En effet, ce genre littéraire recèle souvent d’une multitude de spécificités…
Une traduction, c’est un peu comme une fine couche de neige qui se dépose sur un sol rocailleux : on voit bien que l’aspect du paysage a changé, mais on le reconnaît tout de même. La neige n’a fait qu’épouser les moindres reliefs, elle n’a pas transformé le lieu. Peut-on en dire de même pour la traduction de Jean Sola ?
Une traduction, c’est un peu comme une fine couche de neige qui se dépose sur un sol rocailleux : on voit bien que l’aspect du paysage a changé, mais on le reconnaît tout de même. La neige n’a fait qu’épouser les moindres reliefs, elle n’a pas transformé le lieu. Peut-on en dire de même pour la traduction de Jean Sola ?
Dans ce troisième article, nous nous intéresserons à la traduction en elle-même, dans ce qu’elle a de plus simple. La construction du texte est-elle respectée ? Les surtraductions ou les omissions ont-elles été évitées dans la mesure du possible ? En d’autres termes, la traduction est-elle proche du texte original, malgré les écarts de Jean Sola sur le style et le ton général de l’œuvre ?
Dans ce troisième article, nous nous intéresserons à la traduction en elle-même, dans ce qu’elle a de plus simple. La construction du texte est-elle respectée ? Les surtraductions ou les omissions ont-elles été évitées dans la mesure du possible ? En d’autres termes, la traduction est-elle proche du texte original, malgré les écarts de Jean Sola sur le style et le ton général de l’œuvre ?
Dans ce troisième article, nous nous intéresserons à la traduction en elle-même, dans ce qu’elle a de plus simple. La construction du texte est-elle respectée ? Les surtraductions ou les omissions ont-elles été évitées dans la mesure du possible ? En d’autres termes, la traduction est-elle proche du texte original, malgré les écarts de Jean Sola sur le style et le ton général de l’œuvre ?